Quels sont les principes pour choisir son prestataire d’Inbound Marketing ?
En vous informant, vous avez récemment compris qu’une stratégie « Inbound Marketing » avait de grandes chances d’être gagnante pour votre marque. Attirer vos cibles « idéales » grâce à un contenu web passionnant et pertinent à la fois, les fidéliser grâce à un CRM de bonne facture, tout cela cadre bien avec votre positionnement. Il vous reste à trouver le bon partenaire pour démarrer cette nouvelle aventure stratégique.
1- La compétence Inbound Marketing, bien sûr.
Cela ne s’invente pas d’un claquement de doigts. C’est comme la psychanalyse : il faut l’avoir mis en oeuvre pour soi-même avant de se déclarer compétent pour l’appliquer à autrui…
Vérifiez l’expérience de l’agence (Google, Hubspot Marketing…). Contenu, livres blancs, landing-pages, lead nurturing … Cela demande un investissement humain important pour maitriser l’ensemble des techniques! Mieux vaut éviter de s’aventurer avec une agence qui prétend avoir développé sa méthodologie seule.
2- La vision stratégique Inbound, tout aussi importante.
Comme me le disait un ami directeur du marketing qui connaît parfaitement son métier : à quoi bon maîtriser la technologie si on ne sait pas quoi en faire ? L’important reste de nouer une relation avec un ou des clients potentiels, de réussir à le convaincre et ensuite de le rendre amoureux de votre marque. C’est donc une vision stratégique affûtée, une véritable intelligence relationnelle qu’il faut rechercher.
Qui sont vos cibles idéales ?
Non pas des clichés tout faits, mais des êtres humains que votre agence va avec vous personnifier, dans toutes leurs dimensions.
En ensuite, quel contenu pour les attirer ?
Il ne s’agit pas de contenu publicitaire, cela demande aussi une compréhension de ce qui peut intéresser vos cibles, de ce qui les séduit, de leur mode de vie, de leurs questionnements… Il s’agit d’une véritable stratégie qui fait appel à des connaissances digitales (marketing automation, CRM…), sémantiques (quelles requêtes, quels mots-clés ?) une authentique connaissance également de votre secteur d’activité…
3- L’aptitude à la création de contenus multi-canal et multi-supports
Savoir écrire ne suffit pas, il faut également connaître les règles de l’optimisation SEO.
Le SEO, mais aussi le champ lexical du secteur concerné : on n’écrit pas de la même manière pour passionner une fashionista qu’un commerçant qui réfléchit à son agencement, ni à un industriel qui doit s’équiper en micro-capteurs. Cela paraît évident en théorie, mais dans les faits il est rare qu’une agence réunisse tous ces savoir-faire.
En général, chacune a ses spécialités : par exemple, la nôtre (BASE SUD) sait écrire pour la mode, l’art de vivre, le tourisme et le business to business…. Elle a aussi des spécialistes dans le domaine de la santé, et connaît très bien un certain champ de la finance … Mais produire du contenu pour l’aviation, l’automobile, les industries IT … ? Très honnêtement, il nous faudrait une mise à niveau de taille… Donc, un bon conseil : renseignez-vous sur les connaissances de votre futur partenaire !
Par ailleurs, il faut aussi idéalement maîtriser d’autres champs de la production de contenu : la recherche ou la création d’images de haute qualité, la vidéo, la création de supports animés et d’infographies, les « stories », la création de templates CRM attractifs, la production de livres blancs pour dévoiler en partie certains secrets de votre marque… Bref tout un champ de compétences assez variées.
4 – Le CRM et les mails automatiques (marketing automation)
Dans ce domaine crucial qui va vous permettre de gérer la relation avec des prospects ou de nouveaux clients à peine acquis, dont le lien avec votre marque est encore fragile, il faut aussi compter sur une compétence : celle du paramétrage rigoureux de l’outil CRM. Envoyer le bon message, aux bonnes cibles, au bon moment… c’est un art.
Les agences qui ont travaillé avec Hubspot ou Sending Blue, voire qui manient bien les outils de Mailchimp, ont appris à se servir de ces outils et à construire des scénarios automatisés et personnalisés, et cela constitue pour vous une sacrée garantie de qualité.
Et, dans ce domaine comme dans les autres, la compétence n’exclut pas l’intelligence : il faut donc y allier une connaissance théorique du CRM (comment gère t’on la relation client) et une connaissance technique. (cf notre point 2 ).
5- Avoir un bon feeling avoir votre agence, bien entendu !
Rien ne remplace la connivence, la bonne entente, la confiance partagée . C’est sur ces bases également qu’il faut partir pour bien collaborer. Cela signifie aussi se donner ensemble des objectifs (KPI, marqueurs de performance), organiser des points très réguliers, permettre à votre agence de prendre le temps de tout comprendre de votre marque, de vos clients, de vos cibles… Bref lui donner le temps de bien travailler !
Last but not least, le sujet de la rémunération : il faut que la rémunération de la production de contenu soit juste et prenne en compte non seulement le temps à passer pour obtenir de réels résultats (il s’agit obligatoirement d’un stratégie de moyen terme), mais aussi des compétences nécessaires. Donc, s’accorder sur le point de la rémunération est aussi un clé de succès. Un vrai partenariat gagnant-gagnant.
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